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Voyant cette mission comme une aventure, il décide de conjurer le mauvais sort en allant au bout de son engagement et en démontrant sa valeur par le fer. Dès lors, chaque fois que le capitaine l'envoie aux avants-gardes, le lieutenant Pencroff fouille ciel et terre en quête d'ennemis à combattre.<br>
Voyant cette mission comme une aventure, il décide de conjurer le mauvais sort en allant au bout de son engagement et en démontrant sa valeur par le fer. Dès lors, chaque fois que le capitaine l'envoie aux avants-gardes, le lieutenant Pencroff fouille ciel et terre en quête d'ennemis à combattre.<br>


En cidélia de l'an 52, deux ans après le début de la mission, le 22e détachement de cavalerie n'est toujours pas revenu en capitale.<br>
Arrivé dans le désert d'herobrine, il sillonne inlassablement les [[Terres du Sud]] à la recherche de rebelles, de brigands ou de monstres à occire; et il y a alors fort à faire.<br>
De nombreux combats de rencontres et de nombreuses escarmouches ponctuent les patrouilles, et le détachement s'aguerrit à un rythme effrénée. friand de combat, le lieutenant Pencroff est devenu un cavalier des plus habile, de même qu'un bretteur hors-pair.<br>
Mais la situation de la troupe change le 18 Cidélia lorsqu'au cours d'une escarmouche avec des trafiquants d'esclaves, le capitaine Dhumas, commandant le détachement, est tué par un contrebandier.<br>


Sa nouvelle affectation devait le conduire dans ce qui, plus tard, deviendrait le fief de la [[Garde Volontaire]]: Herobrine Valley. Il commandait alors une troupe de cavalerie en qualité de capitaine, et avait été chargé par l'état-major impérial d'établir une base avancée dans ce désert inhospitalier. Il était accompagné de deux autres officiers, les lieutenants [[Liths]] et [[Isaac Asimov]], qu'il avait rencontré lors de son instruction. Notons qu'à l'époque, le désert choisi pour abriter cet avant-poste n'était entouré d'aucun territoire et n'était donc couvert par aucune route. Il fallait s'y rendre à pieds ou à cheval et les convois de matériaux et de ravitaillement se faisaient de jour. Alors, à bras d'hommes et à force de sueur et de sang, on construisit la première version de Fort Herobrine, qui n'était alors qu'un petit ensemble de baraquements entourés d'une muraille de bois et de grès. Les jours passèrent, puis les semaines, puis les mois. La modeste garnison ne fut pas relevée et resta à son poste, guettant l'arrivée d'ennemis qui devaient ne jamais venir. Au bout de quelques mois, la nouvelle arriva aux oreilles des soldats du 22e de cavalerie: La guerre civile était terminée, les soldats du 22e avaient gagné sans combattre.<br>
Officier le plus expérimenté, le lieutenant Pencroff prend alors le commandement de l'unité, et envoie à l'état-major la nouvelle de la mort de son chef.<br>
S'ensuivit alors une longue période de paix pendant laquelle l'utilité de la garnison de Fort Herobrine perdit grandement de sa substance et durant laquelle les troupes allouées à la protection furent diminuées pour ne conserver qu'un service minimum.  
Alors que la mission s'éternise, tous espèrent que cette perte conduirait le commandement à rappeler la troupe, mais il n'en fut rien. La guerre contre le Nivem étant toujours d'actualité, il était hors de question de laisser le sud Stendelien sans surveillance.<br>
contre toute attente, le lieutenant Pencroff fut donc promu capitaine, avec la charge d'assurer le commandement du 22e détachement. Des renforts furent envoyés pour combler les dernières pertes, dont un jeune lieutenant qui devait reprendre la fonction de 3e officier du groupe.<br>
 
Le 10 iffélia de l'an 52, le 22e détachement de cavalerie est donc commandé par le capitaine Pencroff, épaulé par le lieutenant [[Liths]] et le lieutenant [[Isaac Asimov]].<br>
Sa mission, elle, restait inchangée: patrouiller encore et toujours dans le sud, et croiser le fer contre tout ceux qui, par la force ou par la ruse, tentaient d’emprunter ces contrées isolées pour nuire à la sûreté impériale.<br>
Sans trève, sans repos, sans relève, le 22e détachement allait poursuivre ce seul but pendant quatre années encore, combattant souvent et devant fréquemment regarnir ses rangs pour remplacer les pertes.<br>
 
Finalement, en Nérévard de l'an 55, une nouvelle feuille de route parvit au capitaine Pencroff.<br>
La menace sur le sud devenant pressante, il était à craindre que les forces du Nivem ne cherchent à faire la jonction entre leurs territoires de l'est et leurs bastions de l'ouest. L'ennemi avançait ses pions et jouait, dans ces dernières années, ses dernières forces.<br>
Le sud de Stendel étant dépourvu de toute défense solide, on chargea alors le 22e détachement de cavalerie d'en assurer la défense, élargissant pour cela ses moyens et ses prérogatives.<br>
Le capitaine Pencroff fut donc promu au grade de commandant, et on doubla les effectifs du détachement pour en faire un escadron. Des ordres furent également donnés pour qu'un avant-poste permanent sout établi dans le désert d'herobrine séance-tenante.<br>
 
Le 1er pampélune de l'an 56, le commandant Pencroff ordonna la construction d'un avant poste sur la plus haute dune du désert d'herobrine, dont il prit le nom.<br>
Le [[Fort Herobrine]] venait de naître.
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